« Le paradoxe de la modernité, c’est le retour du sauvage » C’est en Lozère que le chercheur en philosophie Baptiste Morizot est parti, en compagnie l’ingénieur écologue et philosophe Antoine Nochy, sur les traces de cet animal redouté par les éleveurs et sanctifié par les écologistes. L’enjeu : trouver la juste place de l’homme dans la nature.
Dans le Philosophie Magazine de septembre, partez «Sur la piste du loup» en Cévennes. Avec un jeune philosophe passionné par la biodiversité et un ingénieur écologue spécialiste des grands prédateurs avec laquelle travaille la Fondation Nicolas Hulot pour proposer un autre regard sur le retour de cet animal, sans doute un processus parmi les plus inattendus et les plus innovants de la fin du XXème siècle en matière de biodiversité, et surtout apprendre à cohabiter avec lui. Car chaque été, c’est la même litanie dans les Alpes et plus récemment dans le Massif central : animal redouté et à abattre pour les éleveurs, sacré ou sanctifié par les écologistes, ses attaques sur les troupeaux font la une des médias sans qu’une perspective de cohabitation plus apaisée ne semble possible. Car le loup entre en contact et en conflit avec certains de nos usages, là où se joue une rivalité pour les ressources : autour des troupeaux d’ovins domestiques.
> A suivre également dans le laboratoire d’idées et d’expertise du – think-tank de la FNH –
Version PDF de l’article 😉 – Sur la piste du loup < c’est ici –
Baptiste Morizot est l’invité d’Elisabeth de Fontenay (Tout bêtement la philosophie) dans l’émission Vivre avec les bêtes suite au reportage « Sur la piste du loup » – en Cévennes – publié dans le philosophie magazine n° 72 de Septembre 2013…
– L’écoute pour cet entretien commence à partir de 20:38
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